A quoi vous échappez en ne venant pas en Guyane 1/3
Venir en Guyane est une épreuve difficile. Je vais vous le montrer à travers quelques articles qui vous montreront les épreuves qui attendent le visiteur en Guyane.
Les cobayes auront été notre fils ainé Pascal et ses deux plus grands enfants que vous connaissez déjà (Cf. de l'Ardèche à la Guyane).
Tout d'abord, à peine sorti de l'avion, vous vous retrouvez dans une ambiance de fête pour l'incinération de Vaval, seigneur du Carnaval.
Tout est nouveau et il fait chaud pour les nouveaux arrivés...
Puis, en plein mois de février, vous vous retrouvez dans l'océan Atlantique, dans une eau très agréable même si sa couleur ne ressemble pas à celle que l'on trouve aux Antilles (à cause du courant océanique qui transporte les limons de tous les fleuves amazoniens le long de la côte sud-américaine).
Bien qu'en période de vacances, il n'y a pas foule ici. Ca les change de la Côte d'Azur, là où ils habitent...
Puis il a fallu aller vivre en forêt profonde, au milieu des bêtes sauvages si l'on en croît ce qui se dit en métropole.
Le lieu est magnifique. Le carbet est surprenant quand on le voit pour la première fois. C'est pourtant le mode de vie normal dans ces lieux isolés.
Les hamacs sont vite montés, nous avons vite fait de prendre possession des lieux.
Tout de suite chacun essaie son couchage. Mais c'est même confortable, un hamac !
La moustiquaire est là plutôt en décoration car il n'y a pas de moustique en forêt profonde.
Nos deux coquines vont pouvoir continuer tranquillement leur conférence !
Quelle nouveauté pour nos petits citadins : vivre à la bougie !
Il fait nuit de bonne heure ici : 19h10.
Cela n'empêche donc pas de vivre ! L'ambiance est chaleureuse, tout le monde a plaisir à être là.
Pas d'électricité = pas de télé, pas de game boy...
On redécouvre donc le goût des cartes, du dessin, de la lecture.
La sieste fait partie des activités importantes, quand il fait très chaud.
Le hamac, là aussi, est tout indiqué...
vue générale du carbet.